Passions hysteriques chez Artaud et Deleuze (Tradução de Noeme da Piedade Lima Klingl)
Mots-clés :
Histeria. Afeto. Texto. Tela. Cena teatral. Crise da representação.Résumé
Le point de départ d’E. Grossman est la définition classique d’hystérie comme «une énergie érotique qui étend vers le dehors la présence intense du corps libidinal» ”“ qu’elle montre en action à la base de la pensée de J. - Nasio, Freud et Lacan. Le but majeur de son article est la proposition d’une nouvelle conception d’hystérie. Pour y arriver, l’auteur analyse deux concepts deleuziens (la «figure» et l’’affect) d’après l’idée de la «logique des forces» qu’elle met en rapport avec la théorie théâtrale d’Artaud (surtout l’aversion artaudienne pour «le corps dit organique» et ses concepts d’«athlétisme affectif» et de «cruauté). Dans ce procès, Grossman inscrit également ces points de vue dans la «crise moderne de la représentation», qu’elle analyse d’après la pensée théorique de Merleau-Ponty, de Derrida, de Lyotard, et trouve aussi à l’oeuvre chez M. Duchamps, Malevitch et Bacon. L’hystérie est alors vue comme force, «un affect», non du peintre ou de l’écrivain, mais du tableau et du texte: alors, on arrive a une dimension qui dépasse la représentation. En d’autres mots, il y a le débordement de la présence à soi du texte: une force y persiste, insiste et subsiste, fonctionnant directement sur le système nerveux non seulement du peintre/ spectateur, mais aussi de l’écrivain/du lecteur.
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