De la chanson qui devient la lanterne de la culture québécoise
um ensaio de Jean-Nicolas De Surmont
Mots-clés :
Canção québécoise; Estudos multiculturaisRésumé
A denominação chanson québécoise substitui nos anos de 1960 a de chanson canadienne. E esta mudança foi conseqüência de uma restruturação da atividade dos cancionistas: o processo de criação passou a incorporar interações diferentes entre os mediadores, fossem eles compositores, intérpretes, etc. Houve também a partir desse momento uma interação maior entre as esferas políticas e culturais. A canção québécoise apresentará o Québec aos franceses e propiciará as trocas multiculturais. Também, o discurso sobre o país marcará a poética destes cancionistas.
Résumé
La dénomination chanson québécoise remplace dans les années 1960 celle de chanson canadienne. Ce changement est consécutif d'une restructuration de l'activité chansonnière : le processus de création font appel à des interactions différentes entre les médiateurs, qu'ils soient paroliers, interprètes, etc. Mentionnons aussi l'essor du mouvement chansonnier, l'amplification de l'espace vocal par la présentation de spectacles collectifs, les interactions entre les sphères politiques et chansonnières, la présence simultanée de diverses esthétiques (comme le yé yé et le chansonnier). C'est aussi la chanson québécoise qui fera connaître le Québec au Français et favorisa les échanges multiculturels. Les années 1960 voient enfin l'essor de l'activité des femmes, plus nombreuses que jamais. Le discours sur le pays marquera la poétique des chansonniers monopolisant à cet égard le discours épichansonnier de l'époque.
Téléchargements
Téléchargements
Publié-e
Comment citer
Numéro
Rubrique
Licence
Déclaration des droits d’auteur
Aucun élément de cette publication ne peut être reproduite, conservée dans un système de recherche ou transmise, sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, électronique, mécanique, y compris par un procédé xérographique, sans l'autorisation écrite expresse de l'éditeur. (Lei n. 9.610 de 19/2/1998 )